“Il est tout… sauf ordinaire” (Ray Cokes)
“Le travail de Federico Ordoñez est vraiment très fort !“ (Alain Platel)
« Il crève l’écran !», « Federico donne l’envie de partir pour l’Espagne immédiatement !» , « C’est la poésie même en mouvement »… Au printemps 2015, le jury du « Belgium’s Got Talent » n’a eu que des éloges pour l’éminent danseur de flamenco, professeur et chorégraphe Federico Ordoñez. Si la télévision nationale l’a enfin fait découvrir au grand public, Federico est depuis longtemps reconnu dans le milieu artistique.
En tant que chorégraphe, il est lié au Théâtre de la Monnaie à Bruxelles. Comme professeur, il s’est produit en Belgique, Pays-Bas, Allemagne, France (« Les Suds » à Arles e.a.) et la Chine (Camino’s Studio Shanghaï).
Federico Ordoñez a débuté sa carrière de danseur flamenco (“bailaor“) avec la chanteuse Belle Perez. Il avait précédemment entamé une coopération avec La Barraca et a pu se produire en tant que soliste dans d'innombrables théâtres en Europe.
Pour sa formation, il a passé quelques années à Seville, en recevant l’enseignement de maîtres comme Manuel Betanzos, tout en travaillant comme professeur chez Angel Atienza et chez Isabel Bayon. Au début de sa carrière, il a partagé la scène avec la chanteuse India Martinez ; en Pologne, il a travaillé à plusieurs reprises avec le guitariste Carlos Pinana.
Et depuis 2007, il forme un duo remarquable avec la danseuse sévillane Irene Alvarez, d'abord dans la production"DOS", puis dans "Flamenco Esencial". Les deux spectacles de danse traitent de thèmes comme la sensualité, la séduction, l'amour ou le conflit.
Dans sa carrière, beaucoup de grand moments : l’année dernière, il s’est produit notamment au Musikfestspiele Potsdam et Festival Mitte Europa en Allemagne et Concentus Moraviae en République tchèque.
A Bruxelles, il remplit la salle de l’Espace Senghor, deux soirs de suite.
Il s’est produit au Handelsbeurs Gand, Festival de Flandre, À Flagey Bruxelles, Vredenburg & Rasa Utrecht, Roma Borgerhout et BGF Balatonfüred Hongrie.
Il se présentera prochainement, pour la troisième année consécutive, au théâtre Kings Place, à Londres, après avoir dansé au Sfinks Festival, Festival de Musique du Monde à Boechout en Belgique.
Si son style est très personnel, le but est avant tout d’émouvoir le public, et de délivrer, grâce à son art, une sorte de message: « Danser, c’est voyager à travers de ses rêves. C’est chanter avec tout son corps, avec le but de rendre un monde plus profond, plus beau » *
* (Lire à ce sujet son interview dans Weekend Knack, début Juillet 2015). |